Going crazy.
"It's not somebody who is seeing the light."
Eniarduf.Thatsall
Il n'est encore que le guitariste timide aux cheveux longs.
Eniarduf.Thatsall
Il n'est encore que le guitariste timide aux cheveux longs.
Samedi 5 décembre 2009 à 20:23
Quand finit-elle, cette enfance tantôt chérie, tantôt maudite? Tout le monde y passe. Pourtant, personne ne la vit de la même manière. On veut en sortir au plus vite mais dès qu'onn n'y appartient plus, on tente d'y retourner, on s'en invente une nouvelle. Ou bien on l'oublie aussitôt pour ne plus jamais y revenir. Alors on ne comprend plus les choses de la même manière, on ne voit plus les gens de la même façon, on ne se voit plus pareil.
Cliquez ... www.deezer.com/fr/#music/marillion/misplaced-childhood-302514
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... et écoutez.
"L'Enfance. Qui peut nous dire quand c'est finit ? Qui peut nous dire quand ça commence ? C'est rien avec de l'imprudence, c'est tout ce qui n'est pas écrit."
Mercredi 2 décembre 2009 à 20:32
Dans la rubrique faits divers :
Ce matin, vers 7h40, un jeune collégien de sixième se rendant au collège Lelorgne de Savigny a été sauvagement agressé par un élève du lycée Thibault de Champagne. Le malheureux est arrivé aux urgences couvert de contusions, la mâchoir fêlée et des dents cassées. Les autres élèves n'ont pas réussi à maîtriser son agresseur à temps. Cet élève de première, réputé calme et dont les professeurs étaient satisfaits affirme ne pas regretter son geste. D'après lui, le collégien aurait mérité ce qui lui est arrivé. Cette nouvelle inquiétante a mis en émoi le village des deux jeunes et tout le provinois. Serait-ce le début d'un épisode violent dans Provins ?
Cet article n'est paru dans aucun journal. Cet épisode n'est jamais arrivé. Il s'en est fallu de peu.
Ce matin, vers 7h40, un jeune collégien de sixième se rendant au collège Lelorgne de Savigny a été sauvagement agressé par un élève du lycée Thibault de Champagne. Le malheureux est arrivé aux urgences couvert de contusions, la mâchoir fêlée et des dents cassées. Les autres élèves n'ont pas réussi à maîtriser son agresseur à temps. Cet élève de première, réputé calme et dont les professeurs étaient satisfaits affirme ne pas regretter son geste. D'après lui, le collégien aurait mérité ce qui lui est arrivé. Cette nouvelle inquiétante a mis en émoi le village des deux jeunes et tout le provinois. Serait-ce le début d'un épisode violent dans Provins ?
Cet article n'est paru dans aucun journal. Cet épisode n'est jamais arrivé. Il s'en est fallu de peu.
Lundi 30 novembre 2009 à 19:23
.riottort el rus serutiov sel ,etour al rus snotéip seL
.sruesseforp xua tnennerppa sevèlé esL
.etnalueug enu essuop lI
.tiruos ne lI
.elbat à relrap tneiv lI
.dnamella'l remia à ecnemmoc lI
.erocne tneunitnoc siam selucidir tnevuort es slI
Il s'énerve un peu.
miroir | riorim
Mercredi 25 novembre 2009 à 19:09
" Non. Non, parce qu'être passif, c'est accepter en silence. Et tu n'acceptes pas. Mais tu ne dis rien, tu restes là en silence. T'es un spectateur. Mais c'est pas ta place !! T'es de l'autre côté, sur l'estrade. En acteur principal. "
Acteur dans l'âme ? Il se pourrait bien, en effet. Pourtant, il n'est pas fait pour être une tête d'affiche. Attirer l'attention, soit. Devenir une attraction, devenir le principal comédien, non. C'est là qu'apparaît un certain paradoxe. De naturel fier, parfois fanfaron, il reste très discret, refusant les fleurs qui ne lui sont pas dues, allant jusqu'à disparaître là où certains le voudraient bien présent. Il n'est cependant pas si effacé que ça. Il attire l'attention et aime ça. Il aime s'attirer du mérite même si se reposer sur les autres est tout aussi jouissif pour lui. Loin d'être de ceux pour qui la confiance en soit est un trait dominant, il se cache derrière les autres, reste dans l'ombre des grands arbres et fait son chemin. Si on le remarque, il est possible de percer à jours certains de ses aspects. Cependant il restera toujours une paroi entre lui et le reste. Plus on creusera, plus la paroi deviendra épaisse. Inutile de chercher a atteindre le fond par la force, c'est peine perdue. La clef est peut être d'adopter sa façon de procéder et de s'armer de patience.
"He's still a man"