"Si il est passif, il deviendra inactif, seulement spectateur."
"Pas s'il est passif relativement à ce qui l'est pour lui."
"Tu sais, je me connais."
"On se connait souvent moins qu'on le croit."
"Pas s'il est passif relativement à ce qui l'est pour lui."
"Tu sais, je me connais."
"On se connait souvent moins qu'on le croit."
Et le voila parti, loin. "Tu sais, si tu pars trop loin, on peut t'en tenir rigueur." Mais il ne pense pas devoir rester là, à cette même place. Dans ce cas, puisqu'il en a envie, puisque cet inconnu le séduit, pourquoi rester ? Il reviendra, peu, mais intensément, tant qu'il aura quelque chose à y faire. Les autres ouvrent de grands yeux, et lui sourit, répond aux regards incrédules avec ces sourires, il leur envoie toute la joie, tout le bonheur en lui. Certains ne le comprennent pas, ce bonheur, mais il l'envoie quand même car si les autres n'en sont pas satisfaits, lui se satisfait de le faire. De l'auto-satisfaction pure et dure, voilà ce que c'est, et alors ?! Ca n'a jamais fait de mal, à petites doses, et finalement, on est vite rattrapés par le reste. Dans la solitude, il construit ses pesnées, sa personne, qui ne sera jamais achevée, tout est en perpétuel changement, si ce n'est pas à un certain niveau, c'est à un autre. Et puis il joue pour Cybèle, et il est observateur, et puis zut.
"En fait, les déserts, ça existe pas."
Si je n'emploie pas la première personne, c'est que ce n'est pas moi.
Pas tout à fait.
Au plaisir de te lire de nouveau.