Eniarduf.Thatsall

Il n'est encore que le guitariste timide aux cheveux longs.

Mardi 2 novembre 2010 à 20:16


Un mardi de plus, un mardi morose, plein de promesses, finalement décevant. 
Arrête d'espérer ainsi, sombre crétin.





Il serait temps en effet. Je vais m'enterrer dans ma chambre, me pendre avec mes cheveux. Me noyer de l'absence de mes pleurs.

Lundi 11 octobre 2010 à 20:27

<< Je ne l'avais pas remarquée, là. On voit bien la différence. Serais-je stoïcien quelque part ? Ou plutôt un melting pot. Je dirais que c'est positif. Je n'arrive plus à les suivre. Peut-être un manque d'explication. Qui aujourd'hui décide de la morale ? Qui l'étudie ? Kant est mort. Agissons de telle sorte alors. Il faudrait travailler ceci et cela. Etrange revirement. J'ai faim. Je ne suis pas sûr que je la crée. Peut-être que je l'ai créée, mais elle est partie intégrante de mon être, et plus seulement un accessoire utilisé à ma guise par ce que je suis. Je suis d'accord, elle est brillante. On n'a pas prise sur la bêtise des autres, ni sur leur intelligence. Il vaut mieux subir l'injustice que la commettre. Les stoïciens sont optimistes, mais pas eu sens commun. Serais-je paradoxal dans ma raison ? En fait, je pense qu'on ne peut strictement se tenir à une philosophie, on est quelque part contraints de choisir ce qui nous semble subjectivement le mieux ou le plus simple dans tout ce que nous avons à notre disposition. Tu peux dire ce que tu veux, je ne t'ai jamais traitée comme ça. >>



Excusez les quelques lapalissades et le caractère incompréhensible de la chose.

Jeudi 7 octobre 2010 à 20:46


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Ne pas oublier que les ressentis sont souvent partagés par ceux qui les causent.

Dimanche 26 septembre 2010 à 19:59

http://eniarduf.thatsall.cowblog.fr/images/DSC00387Copie.jpg

Je ne vais plus tenir à ce train là.
" Je suis l'étranger dans la glace. "

Samedi 25 septembre 2010 à 20:48

C'est étrange, se sentir l'espace d'une soirée aussi concerné par un événement non vécu. Un élan d'humanité, un élan de tristesse. C'est étrange toute cette émotion. Elle est venue petit à petit, à son rythme, et explose ne cette soirée. Enfin, explose, s'intensifie un peu, plutôt, comme un avant goût de cee qui aviendra lorsqu'elle explosera, cette boule au fond de la gorge, cachée tout au fond. Un sourire crispé, des yeux fatigués, la tête lourde, les jambes engourdies, un léger frisson. Hommages poignants.




Il y a des silences qui disent beaucoup.

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