Il reste là, immobile, à prendre racine. Il est planté là, comme un chêne centenaire. Il respire par tous les pores de sa peau cette douce humidité qui lui ferait presque oublier la châleur de sa chair et la fatigue de son esprit. Dans ce calme épais, il se sent apaisé ; avec pour seule compagnie cette agréable odeur, qui lui rappelle la candeur des moments passés. Au milieu de cette brûme qui lui cache le reste du chemin, il reste l'esprit vide mais ouvert, placide, serein. Il n'a plus ici besoin de penser et de prendre des décisions. Il reste donc ébahi devant toute cette douceur qu'aucun mot ne suffirait à décrire.
Eniarduf.Thatsall
Il n'est encore que le guitariste timide aux cheveux longs.
Commentaires
Par Gil le Lundi 16 novembre 2009 à 19:32
HS!! vous n'avez pas compris l'enjeu terrible que le personnage est en train de vivre, essayé de rester proche du texte pour enfin imaginer/décider d'une suite plausible ...
Par Lundi 16 novembre 2009 à 19:37
le Thomas l'Arbre à Maux :)
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