Les vacances ont commencé il y a maintenant 8 heures environ. Le rythme va s'emballer, je ne pourrai pas rester.
<< Les pleurs ne te vont pas ma belle. Les larmes coulent sur tes joues, mais semblent vouloir en glisser le plus vite possible, être essuyée sans attendre, s'évanouir pour n'être plus qu'un souvenir. Ces goûtelettes ne s'accrochent pas à toi. Et bientôt le sourire, solaire, ressurgira. Les perles évaporées, je pourrai disparaître. Je n'aurai plus qu'à surveiller, au loin, que tout se passe bien. Quand à nouveau l'ombre t'envahira, quand à nouveau ces traces humides dessineront de délicates ébauches sur ton visage, je reviendrai, les gommerai, puis m'éclipserai. La nuit ne durera jamais qu'un temps, et toujours, même quand je ne le pourrai plus, on sera là pour réveiller la lueur de tes yeux, invincible beauté. >>
Entendant ses mots, elle sourit. Il le lui retourna et l'engagea à marcher, pour trouver un endroit où s'asseoir quelques instants et profiter du temps qu'il leur reste. Il s'ouvrira alors, elle pensera le connaître mieux que quiconque, puis il partira. Dans quelques temps, elle réalisera qu'elle ne possède qu'une infime partie de la réponse. Qui est-il ?
Entendant ses mots, elle sourit. Il le lui retourna et l'engagea à marcher, pour trouver un endroit où s'asseoir quelques instants et profiter du temps qu'il leur reste. Il s'ouvrira alors, elle pensera le connaître mieux que quiconque, puis il partira. Dans quelques temps, elle réalisera qu'elle ne possède qu'une infime partie de la réponse. Qui est-il ?
C'est beau non ?
Tu reviens quand, dis ?
Excuse moi mais ces derniers temps je sors bcp le soir, donc peu présente sur msn.
Bonnes vacances, Thomas !